MES CENTS CHEMINS S’évader comme avant Dans l’air énervé du temps S’évader comme avant Sur la chair couchée du vent Pour oublier qu’un jour On s’était dit pour toujours La nuit comme le jour Les doutes que nos GESTES Subissent S’installent dans l’HUMEUR De nos coeurs Et la main endormie par l’effort Sans trop savoir ou m’emmènera Ce nouveau destin Je suis mes cent chemins Tu es sur ce chemin Mon chemin Tous ces chemins mènent parait il Vers d’autres charmes, d’autres villes Ou la nuit se couche avec élégance Dans ces noces devenues blanches Où les nuits redeviennent des danses Les doutes que nos SILENCES Engendrent S’installent dans l’HUMOUR De nos jours Et mon corps éveillé par le sort Sans trop savoir ou m’emmènera Ce nouveau décor Je suis mes cent chemins Tu es sur ce chemin Mon chemin Mes cent chemins